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LA 22 EDITION DU FESTIVAL JAZZ A OUAGA

Comme les grains d’un chapelet, les évènements culturels s’égrainent et se succèdent les uns après les autres comme il est de tradition au pays des hommes intègres.

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A peine la Semaine nationale de la culture clôturée 29 mars dernier, place est faite au jazz. Depuis une semaine déjà Ouagadougou est sous l’ambiance musicale. En effet, la 22e édition du festival international du Jazz « JAZZ A OUAGA 2014 » à amorcé ces festivités le 25 de ce mois. Et comme l’on sait de ce festival, a transformé à l’occasion la ville de Ouagadougou en un véritable plateau de l’improvisation du saxo, de la trompette, de l’accordéon et de l’harmonica.

Il fallait être là pour le vivre.

 

Voilà déjà plus de vingt ans que jazz à Ouaga existe et aujourd’hui continue son petit bonhomme de chemin. Selon des festivaliers, c’est un festival qui a toujours réussi son pari de réunir les jazzmans d’Afrique et du reste du monde dans un seul lieu « Ouagadougou » capitale de la culture.

Pour la 22 édition cette année, un ténor de la Kora, le Malien Toumani Diabaté a assuré l’ouverture en compagnie du Duo Toumani et fils.

 

On fera honneur à de grands noms du jazz européen, américain et d’Afrique à l’image de James Brown, Ray Charles, Wayne Newton, The Temptation, pour ne citer ceux-là. Autres têtes d’affiche : Gyedu-Blay Ambolley du Ghana, Franco Na Biso de France, Sweet Lipzz Quartet des Etats-Unis, Spaicy du Canada, sont appelés à investir l’Institut français de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso afin de communier des vibrations jazzistiques au public burkinabè

 

Le festival, c’est aussi les plateaux Jazz performance qui permettent la découverte de nouveaux talents, un espace ouvert au public tous les soirs à la K’fête de l’Institut français.

 

Depuis quelques années, le festival grandit, innove et se démocratise à travers ; d’une part, « les afters de Jazz à Ouaga » où le grand public est invité à partager et vivre à ciel ouvert des concerts gratuits à la place de la nation transformée à l’occasion en « village du festival ». Il y a aussi la Caravane du jazz qui décentralise l’évènement et également Jazz School qui permet entre autres aux élèves des établissements scolaires d’être de la fête.

 

SOURCE:

Maxime Compaoré pour ZEMBALACULTUR



05/05/2014
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