Carrefour International de Théâtre
LE CITO presente:
Monsieur de Pourceaugnac
De Molière
Dans une mise en scène d’Ildevert MEDA
Le C.I.T.O.
un lieu de rencontres et d’échanges pour tous les artistes burkinabè, qui sont animés de cette même ferveur de mettre leur savoir et leur engagement au service d’une culture africaine qui se cherche et se retrouve. Devenir de meilleurs professionnels est leur credo afin de pouvoir mieux dialoguer avec leurs compatriotes des petits bobos et des grands problèmes de la vie.
Le C.I.T.O.
un lieu de rencontre et de complicité entre le public et les comédiens, un lieu d’accueil de ce public qui découvre ou redécouvre la magie de la scène, de ces personnages qui deviennent pour une heure au plus, les grands ou les petits de ce monde, et qui savent si bien les prendre par la main pour un voyage dans l’imaginaire qui devient souvent si réel qu’on y rit à se décrocher les mandibules ou qu’on y verse une larme amère sur l’injustice de ce monde.
Carrefour, un lieu de rencontre à la croisée des chemins, un lieu de brassage de personnes et d’idées qui sont fières d’être, fières de dire et d’être dites, fières d’être reçues et écoutées comme telles. Plus qu’une croisée de chemins, un lieu de convergence, de confluence où chacun est le bien venu, où chacun apporte et contribue.
International parce que confiant dans ses racines enfoncées profondément dans la latérite du sol africain et dans sa culture africaine qui ne refuse pas la confrontation, le challenge, l’échange, international parce qu’ouvert sur le monde et au monde, ouvert mais responsable et majeur à la recherche de l’alter-ego qui viendra apporter et s’enrichir à ce rendez vous du donner et du recevoir.
Théâtre, avec T comme trois, comme les trois indissociables mousquetaires, même si il étaient quatre, le texte et son auteur, les comédiens et leur metteur en scène et le public. Pas de théâtre, si l’un des trois manque à l’appel.
Ouagadougou le lieu et le creuset culturel. De Ougadougou et non pas à Ouagadougou. Une appartenance, des racines, encore et toujours des racines. Mais des racines qui sont prêtes à se ramifier, à prendre ses inspirations hors de Ouagadougou à porter sa voix hors de la ville.
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