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1er Mai defait du travailleur

 

Dans l’innombrables importation du Burkina Faso, la fête du travail, 1er Mai en fait parti. Oui ! Tout comme le 8 Mars et la pentecôte. C’est reconnu, on est expert professionnel en matière d’importation tout genre ; matériels, l’immatériels… Et exper amateurs en exportation.

 

Importation, exportation, déportation, bref. Là n’est pas mon sujet

 

Au Faso, tout le monde sont unanime pour en faire du 1er Mai « fête du travail » c’est, en fait, la seul journée soustrait dans les 365 jours pour en faire un flash-back sur nos conditions de vies et de travail. Un rétrospectif oblige, un inventaire. Quoi de plus normal. Mais la donne est alarmante. D’ailleurs nul n’ignore à quel point le cas du travailleur est critique. Ce que renvois les signaux en dit long. Il ne se porte gère bien.

 

Pour rentré dans les jeux des comparaisons, Il y a trois composant qui gravit autour du spiral du travail. Qui ont également un point commun avec le temps et l’espace-temps. Le futur, le présent, et le passé.

 

Alors, il y a premièrement ; ceux qui sont à la recherche active du travail. Qui gratte ciel et terre pour obtenir le travail devenu rare sous nos cieux (futur).

Deuxièmement ; ceux qui sont aujourd’hui au bande de touche. C'est-à-dire, les éjectés, ceux qui ont perdu leur travail (passé).

Et troisièmement ; ceux qu’on aime dire avoir la chance parce qu’ils ont de quoi faire. Les travailleurs (présent). Mais tous, chacun porte sa croix.

 

Aucun travailleur n’étant pas en fête, on aurait dit plutôt « journée International du travail et non fête du travail. Car aucun d’eux n’à le cœur en fête cette époque-ci. Ça et là, la grogne des travailleurs se font entendre. Supérieure et subalterne sont à couteaux tiré. Cahier de doléance, mot d’ordre de sit-in, plate-forme revendicative sont à l’ordre du jour. L’exploitation de l’homme par l’homme, les arriérés de salaire voir inexistant ensuit de suite…

 

Le travailleur Burkinabè sombre de jours en jours. Son pouvoir d’achat ne fait que chuter pendant la grimpé des prix de produit de première nécessité

Alors, convenez «  deuil du travailleur ou défaite du travailleur » serait le terme approprier. Journée de réflexion, journée pour oublier en tant soit peu notre perpétuel sycose ; celui de notre devenir, de l’éventuel licenciement.

 

Comme une minute de silence qu’on aurait observé à la mémoire d’un illustre disparu, cette journée serait ainsi observé à la mémoire des sens emplois, aux chercheurs d’emploi, aux victimes des licenciement arbitraire, et abusif, a ceux qui travail au risque de leurs vies et à ceux qui travail beaucoup beaucoup et qui perçoivent très peu.

 

Bonne journée de travail, travailleurs !

 

 

Maxime



02/05/2012
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